Pourquoi former ses salariés à l’anglais ?

Halte aux préjugés

« Dire que les jeunes générations parlent mieux l’anglais que les anciennes, est un cliché », pose d’emblée Stylianos Antalis, conscient qu’un grand nombre de salariés français rencontre encore des difficultés à l’oral comme à l’écrit. « C’est dommage, car lorsqu’elles ont des entretiens d’embauche en anglais, de nombreuses personnes préfèrent annuler », et voir s’évanouir de nombreuses opportunités professionnelles.

Choisie comme langue officielle par plus d’une cinquantaine de pays, l’anglais est la langue internationale par excellence. Former ses employés à l’anglais s’avère une décision payante pour les sociétés qui offrent cette possibilité à leurs salariés. Stratégique, cette compétence permet notamment :

• le développement d’activités à l’international,
• d’être capable de répondre aux sollicitations venues de l’étranger,
• ou d’accueillir un expatrié par exemple.

Autant de réponses différentes à ces nouveaux enjeux de plus en plus nombreux.

L’apprentissage de l’anglais, pilier de la compétitivité

« La formation en anglais est une clé formidable pour comprendre l’autre et s’aligner sur sa manière de penser », clame le fondateur d’origine de YESNYOU, convaincu par ses propres expériences entrepreneuriales.

Dans le contexte actuel de digitalisation massive, l’anglais est indispensable pour répondre à la mondialisation des marchés, s’ouvrir à l’internalisation des échanges et des flux de communication, ou même comprendre l’utilisation de n’importe quel outil indispensable sur son marché, ou à son industrie. Aucun rachat ou opération de fusion-acquisition ne se fait sans interactions, tractations ou négociations en anglais !

« Une langue commune est fondamentale, car aujourd’hui, même une petite structure travaille avec des interlocuteurs de différentes nationalités », explique Stylianos, lui-même confronté à l’apprentissage de l’anglais dès l’enfance, puis du français dans un cadre professionnel.

C’est donc sans grande surprise que 99 % des sociétés et structures qui font confiance à YESNYOU choisissent de former leurs collaborateurs à l’anglais plutôt qu’à une autre langue.

« L’apprentissage d’un tronc commun solide permet d’aborder plus de 80 % de tous les sujets dans tous les secteurs confondus », ajoute Stylianos. Ainsi, YESNYOU analyse et décompose toutes les interactions possibles dans les entreprises pour les transposer ensuite dans ses différentes formations linguistiques. Plusieurs dizaines de parcours thématiques métiers (anglais des affaires, management, communication, ressources humaines, hôtellerie ou restauration, par exemple) sont ainsi dispensés par des formateurs natifs.

Répondre aux enjeux d’attractivité

La montée en compétences de ses collaborateurs constitue pour l’entreprise une source de croissance. Elle s’assure de rester compétitive, s’arme pour entrer dans de nouveaux marchés et demeure attractive pour recruter partout dans le monde.

La période post- Covid et la digitalisation ont accéléré une forme de prise de conscience globale, visant à faire coïncider valeur travail et quête de sens. Les salariés sont davantage en recherche d’un recrutement flexible qui correspond à leur rythme de vie et à leurs aspirations personnelles.

« Les sociétés sont confrontées à une nouvelle génération dite nomade, qui ne souhaite plus venir tous les jours au bureau et qui vit parfois à l’autre bout du monde », indique Stylianos. Répondre à ces nouveaux enjeux devient une nécessité et une responsabilité sociale pour les sociétés. Il y a par ailleurs « une pénurie de talents en France qui pousse à recruter à l’étranger ». 

In fine, pour l’entreprise comme pour son employé, l’absence de maîtrise de l’anglais est un véritable plafond de verre qui freine aussi bien les carrières des salariés que le développement économique de l’entreprise.

« Nous avons accompagné une personne qui postulait pour la Commission européenne d’un niveau A2 à un niveau B2 [niveau établi par le Cadre européen de référence pour les langues, CECRL]. Grâce à cette formation et à son assiduité, il a obtenu ce poste ! ». L’anglais ouvre de nouvelles portes aux salariés qui peuvent ainsi accomplir leurs rêves et projets au sein de leur entreprise formatrice. 

Favoriser l’équité et l’épanouissement

Comme c’est le cas pour de nombreuses autres compétences, il demeure en France de grandes disparités entre les salariés concernant l’apprentissage de l’anglais. Si certaines sociétés « misent sur la formation d’une seule catégorie de salariés », comme le souligne le dirigeant de YESNYOU, « ce n’est pas une bonne idée, car si les niveaux sont trop différents, celles-ci se heurtent à d’autres problèmes ». Parmi eux, des retards ou même l’annulation de certains projets cruciaux, ainsi que des tensions sociales. Toutes ces problématiques peuvent engendrer des ondes néfastes à la productivité, ainsi qu’un surcoût.

Prendre la décision d’offrir les mêmes formations à ses collaborateurs, pour que chacun avance dans la même direction et trouve sa place dans l’entreprise, c’est permettre à la société d’être plus performante. Mais cela contribue également à instaurer un sentiment d’équité et un épanouissement personnel favorable à la motivation et à la montée en compétences. Deux enjeux capitaux pour la croissance d’une entreprise.

Devenue l’une des compétences stratégiques n°1, l’anglais n’a jamais été aussi accessible qu’aujourd’hui. C’est par exemple « la formation la plus choisie du dispositif de compte de formation personnel (CPF) », précise Stylianos.

Si l’apprentissage de l’anglais en entreprise a autant de succès, c’est parce qu’elle permet d’affûter les connaissances de tous les salariés, en partant du niveau de chacun et en réduisant les écarts. Commencer par se présenter, expliquer en quoi consiste son métier est un bon début.

« Lorsque je parle français, je fais encore des erreurs sur les pronoms. Et alors ? L’important est de se faire comprendre par son interlocuteur. Je peux échanger avec des actionnaires, des journalistes et faire des réunions importantes », confie le fondateur de YESNYOU.

Financer la formation de ses salariés

Parmi les différentes manières de financer la formation d’anglais en entreprise, « le CPF est d’après-moi, l’un des meilleurs types de cofinancement », assure Stylianos. Le salarié utilise une somme d’argent dont il dispose sur son compte personnel de formation et fait appel à son entreprise pour la cofinancer. C’est un réel engagement commun, car en offrant à son salarié de poursuivre ses ambitions de carrière, l’entreprise l’accompagne et l’inclut dans son projet de développement économique et social, en l’intégrant à ses objectifs de croissance, et en capitalisant sur sa promotion et sa mobilité en interne.

Autre solution, la demande d’éligibilité de l’entreprise au dispositif de financement de formation FNE en passant par l’OPCO. Plus méconnu, le Fond Social Européen (FSE), propose quant à lui différentes modalités de paiement et peut prendre en charge une partie de la formation des salariés.

« Les sociétés doivent prendre leurs responsabilités. Discuter avec leurs employés lors des entretiens annuels de la possibilité de faire une formation et du but recherché », affirme le fondateur de YESNYOU.

La formation constitue une source d’épanouissement et un investissement capital pour l’avenir, puisque l’on sait déjà que cette tendance ne cessera de croître au cours des prochaines années. Il serait donc dommage de passer à côté. Et notamment de l’anglais.

Découvrez les formations en anglais certifiantes et éligibles au CPF de YESNYOU.